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Résultats enquête Sandawe sur le crowfunding
Lasne, le 20 janvier 2014. Basée sur un échantillon de 1153 personnes où l'on trouve à la fois des participants à des sites de crowdfunding généralistes (Ulule, MyMajorCompany, KissKissBankBank...) et 100% BD (Sandawe.com), elle révèle le portrait-robot d'amateurs de bande dessinée passionnés, grands consommateurs d'albums et à la bibliothèque bien fournie.
Ayant découvert le crowdfunding récemment, ils participent principalement au phénomène pour soutenir des projets ou des auteurs et suivre en direct les coulisses de la création, plus que pour réaliser une opération financière juteuse.
Amateurs avertis, ils fonctionnent au coup de coeur, sans se fixer de budget, en se fiant à leur vision personnelle de la qualité du projet, sur base des visuels et informations présentés sur le site ainsi que par le contact direct avec l'initiateur du projet et son dialogue avec ses "édinautes".
Collectionneurs, il apprécient le système des contreparties inhérent au crowdfunding, qui leur permet d'obtenir des choses exclusives telles que des édition "collectors" des albums, des ex-libris signés et numérotés, des "Art Books" hors-commerce, etc. Les éditions numériques les intéressent peu.
S'ils sont des amateurs de BD largement avertis, ils se considèrent avant tout comme de simples lecteurs, voire des mécènes dont le soutien permet à un initiateur de faire aboutir son projet. Ils laissent à l'auteur et à l'éditeur leurs boulots respectifs, sans ressentir le besoin d'intervenir dans ceux-ci.
La majorité ont déjà investi à ce jour entre 100 € et 500 €, mais près d'un cinquième ont largement dépassé ces sommes, allant jusqu'à plusieurs millieurs d'euros.
Ouverts à ce que le crowdfunding sorte des frontières strictes de l'édition BD — objets dérivés, essais et livres d'exégèse, soutien à des festivals et salons ou des médias consacrés à la bande dessinée, etc — ils acceptent également l'idée d'aider d'autres éditeurs de bande dessinée à compléter, grâce à eux, le budget d'albums en préparation, et des auteurs à publier leurs albums en solo, substituant l'édition "à compte d'édinaute" à celle "à compte d'éditeur".
Enfin, ils sont convaincus à 60% que le crowdfunding pallie des lacunes de l'édition traditionnelle, dont il est le complémentaire. En ce sens, les participants au crowdfunding sont les acteurs d'une modification dans les rapports lecteur-auteur-éditeur, et le moteur d'une utopie en train de se réaliser.
A propos de Sandawe.
Sandawe.com est le premier site de crowdfunding 100% BD. Adossé à une maison d'édition de bande
dessinée, il permet non seulement aux initiateurs de projets liés à la bande dessinée de faire financer leurs oeuvres, mais en plus de les faire réaliser et commercialiser par celle-ci. Les albums sont réalisés sous la direction d'un éditeur professionnel, diffusés par une équipe commerciale dans tous les circuits de librairies, distribués en Belgique, France, Suisse, Québec, publiés en version numérique et promotionnés avec le soutien dʼune communauté dʼédinautes (“éditeurs-internautes”). Lancé en janvier 2010, Sandawe.com a déjà permis de financer 18 albums (bientôt 21) grâce à une communauté de plus de 8 000 membres qui ont rassemblé plus de 800 000 € (avec un panier moyen de 350 €). Il s'est ouvert récemment au financement libre de projets indépendants, mais obligatoirement liés à la bande dessinée.
Source: communiqué presse Sandawe
Faut-il vraiment qu'on vous le présente? ;p
Bon, faisons comme si vous veniez de débarquer sur notre planète, tel un certain prince d'Euphor!
Goldorak, littéralement « Grendizer, le robot OVNI », est une série animée japonaise réalisée par Toei Animation en 1975 d'après un manga de Gō NAGAI. La série compte 74 épisodes de 26 minutes. Elle a été diffusée au Japon du 5 octobre 1975 au 27 février 1977 chaque dimanche avant vingt-heures.
En France, Goldorak le robot de l'espace a fait son apparition sur Antenne 2 dès la première émission de Récré A2 le 3 juillet 1978. La diffusion complète en France s'est faite en plusieurs salves, et à raison d'un ou deux épisodes par semaine, des rediffusions entre-coupées d'inédits, jusqu'à la fin de l'année 1980.
Gō Nagai publie en 2014 Grendizer Giga, un reboot de la série.
Une vidéo animée promotionnelle est diffusée à l'occasion de la sortie du premier volume relié de ce volume, correspondant au 40e anniversaire de la série originelle. (2 tomes, série terminée au Japon et inédite à ce jour chez nous)