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Journal d'un confiné
Pad’R, de son vrai nom Pascal Decubber, est un dessinateur et caricaturiste nivellois, connu pour ses participations et illustrations dans les émissions « Match 1 », « Tribune », « Sans Chichi », mais aussi dans les magazines « Sport foot magazine », « Trends Tendance » et également la DH pour n’en citer que quelques-uns.
Auteur de plusieurs livres (« Asile de Foot », « La Crise sur le gâteau », « Ma Coupe est pleine »), il a décidé de lancer son « Journal du confiné ».
Comme il l’écrit, « L'actualité n'est pas facile, mais il faut garder le moral. Voilà pourquoi j'ai décidé de lancer mon "Journal d'un confiné". Pendant toute la durée du confinement, j’enverrai très régulièrement quelques dessins à tous ceux inscrits à ma newslettR (gratuite!). Parfois tendre, parfois grinçant, mon coup de crayon aura pour but de vous faire sourire et de vous mettre un peu de baume au cœur.
▶️ inscription GRATUITE ▶️ ici
J'espère que vous apprécierez. Prenez soin de vous !
Pad'R »

Maryse DUBUC, scénariste des Nombrils est née à Sherbrooke (Québec) le 21 octobre 1977.
Après avoir étudié en Lettres françaises, elle publie divers ouvrages catégorisés « Jeunesse » chez Bayard, Vent d’Ouest,…
En 2006, elle lance avec son compagnon DELAF la série « Les nombrils ».
Pour cette série, elle a reçu le Prix du meilleur scénariste décerné lors de la 6e édition des « Joe Shuster Awards » organisé à Toronto en juin 2010.
Pour en savoir plus sur DELAF, rendez-vous dans cette rubrique, le 09 octobre prochain (c’est dans longtemps, je sais!)

Le Journal de Mickey a débuté en France sous l'impulsion de Paul Winkler, fondateur de l'agence Opera Mundi, détentrice des droits des bandes dessinées Disney en France, ainsi que d'autres comics américains. Il est destiné aux enfants de 7 à 13 ans. La première édition est datée du 21 octobre 1934.
Le magazine révolutionne la presse jeunesse française et permet l'arrivée des productions de comics américains en France en plus grand nombre, plusieurs magazines similaires sont ainsi lancés dans les années suivantes. Cette période se voit même nommée "l'Âge d'Or de la Bande dessinée" .