En Librairies:
Un « Commando Barbare » en formation
A la rédaction, on aime d’Amour tout ce que dessine Nicolas Keramidas; mais si on l’associe à Johan Sfar, alors là…
Et ce sera une brique, que dis-je un parpaing pesant 100 pages!
Pour vous donner envie, voici quelques images dévoilées par les auteurs.
Nicolas Keramidas est au taquet : il lui reste une vingtaine de pages à encrer, tandis que Walter travaille à fond les pinceaux sur la mise en couleurs!
La parution se fera aux éditions Glénat et c’est prévu pour le 15 septembre 2021.
Sans rentrer trop dans les détails, les auteurs de ce livre (et leur éditeur Olivier Jalabert) n’ont pas eu beaucoup de chance avec leur Karma (Covid sévère pour l’un, accident pour l’autre, opération à coeur ouvert pour le 3ème…); on sent bien que les Bad news sont derrière eux maintenant et on est totalement hypé par ce nouveau projet!
Vivement la prochaine rentrée littéraire! ;)
(c) Francesca Mantovani
Maryse DUBUC, scénariste des Nombrils est née à Sherbrooke (Québec) le 21 octobre 1977.
Après avoir étudié en Lettres françaises, elle publie divers ouvrages catégorisés « Jeunesse » chez Bayard, Vent d’Ouest,…
En 2006, elle lance avec son compagnon DELAF la série « Les nombrils ».
Pour cette série, elle a reçu le Prix du meilleur scénariste décerné lors de la 6e édition des « Joe Shuster Awards » organisé à Toronto en juin 2010.
Pour en savoir plus sur DELAF, rendez-vous dans cette rubrique, le 09 octobre prochain (c’est dans longtemps, je sais!)
Le Journal de Mickey a débuté en France sous l'impulsion de Paul Winkler, fondateur de l'agence Opera Mundi, détentrice des droits des bandes dessinées Disney en France, ainsi que d'autres comics américains. Il est destiné aux enfants de 7 à 13 ans. La première édition est datée du 21 octobre 1934.
Le magazine révolutionne la presse jeunesse française et permet l'arrivée des productions de comics américains en France en plus grand nombre, plusieurs magazines similaires sont ainsi lancés dans les années suivantes. Cette période se voit même nommée "l'Âge d'Or de la Bande dessinée" .