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Angoulême 2018 - Compte-rendu
Aller au Festival d’Angoulême, c’est tout un programme. Angoulême ce sont des aspects positifs et négatifs évidemment, mais c’est la Mecque de la BD !
C’est un festival où l’on peut rencontrer des tas d’auteurs parfois peu ou pas visibles ailleurs, des artistes internationaux, où l’on peut visiter des expositions variées, assister à des rencontres, voir les stands de nombreux éditeurs et de para bd, c’est toute une ville qui se pare aux couleurs de la bd.

Certes c’est aussi mercantile, un prix d’entrée pas donné, l’achat obligatoire sur beaucoup de stands, des heures de queue, des levers aux aurores pour certains et des courses à l’ouverture pour d’autres (ou les mêmes), des rencontres très courtes avec les auteurs prisés qui abattent des tas dédicaces à l’heure…

Mais c’est une ambiance extraordinaire, des animations fréquentes un peu partout, de la fatigue, les off du soir, les discussions entre amis. Bref, pour tout amateur de bande dessinée, le FIBD est à faire au moins une fois dans sa vie, même si on n’y reste pas les 4 jours !
Rencontres avec deux grands mangakas, récompensés tous les deux d’un Fauve d’honneur: Mashima (Fairy Tail)

Naoki Urosawa (Monster, 20 Century Boys, Pluto,…) avec notre chroniqueuse Koda

Conférence table ronde avec Charlie Adlard et Sean Philips sur leur parcours dans les comics.
Exposition Cuzor et Sente pour la magnifique BD « Cinq branches de coton noir » (Dupuis)

Exposition en l’honneur des 70 ans de « Alix » de Jacques Martin

Exposition Titeuf place de l’Hôtel de Ville

Et pour les plus curieux, un beau reportage de Dargaud d'une journée type au festival ici

Ce dessinateur français (né à Chamalières en 1962) est surtout connu pour ses séries de bande dessinée « Les Sept Boules vertes » et « Guilio et le drôle de monde », qui se déroulent dans un monde de Fantasy.
Le héros, Guilio, parcourt ce monde à la recherche de mystérieuses boules vertes aux pouvoirs étranges. Il croise des magiciens et des sorciers, mais aussi des révolutionnaires.
Par son style, il est un représentant typique de la ligne claire.
Aujourd’hui, Laurent PARCELIER se consacre désormais exclusivement à la peinture (huile et aquarelle).






















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