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Souvenirs et ambiance du 44ème FIBD à Angoulème
Chaque éditeur présente en avant sur son stand ses dernières séries en vogue: Château des étoiles (Rue de Sèvres), Le Règne (Lombard), Undertaker (Dargaud), Laowaï et H G Wells (Glénat), Injection (Urban), Joséphine Baker et Tintin (Casterman), les héros de Marvel et Panini, un immense Spirou gonflable devant Dupuis, un Schtroumpf géant pour le stand promotionnant Bruxelles et son festival BD en septembre...
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Sur la place de l'hôtel de Ville, une petite exposition sur Gaston à l'occasion de ses 60 ans. Les visiteurs y admirent des reproductions de gags mythiques de la série et y retrouvent les thèmes qui parcourent toute l’œuvre de Franquin : l’écologie, l’antimilitarisme, les rapports humains, la ville, le design, les voitures…
Une yourte abrite une exposition sur "La balade de Yaya", au milieu de la rue Hergé, toujours piétonne.
Des tas d'animations sont présentes dans la rue Hergé, semblable à le rue Neuve pour son affluence en ces 4 jours, et de très nombreux murs de la ville sont décorés sur la bande dessinée. Une belle statue de Corto Maltèse se dresse fi§rement sur la passerelle menant aux Chais Magellis.
Exposition Hermann. Plus de 150 planches originales exposées parmi quelques 5000 planches réalisées par l'artiste. De toute beauté! Mieux que des photos, la visite guidée par l'auteur lui-même: ici
Demain, compte-rendu de l'exposition "Le château des étoiles" et "La French touch de Marvel" avec les visuels des couvertures inédites...
MALIK, pseudo de William Tai est un auteur belge né à Paris. On lui doit le très bronsonien (Bronsonesque ?!?) Archie Cash avant que son style réaliste ne devienne plus léger afin de narrer les aventures de Cupidon, composées directement depuis le fauteuil du célèbre scénariste Raoul CAUVIN.
Il est décédé tragiquement dans l’incendie de sa maison le 11 décembre 2020…
Evidemment, cet auteur français né à Fontainebleau en cette date de l’année 1964 n’est guère connu sous son vrai nom..
Pourtant, il est connu pour être très prolifique et pour son style zoomorphique.
On lui doit un célèbre « Lapinot », un royal « Adalbert », les séries « Donjon …»
Multi-primé aussi (Angoulême 2006, Alph-art 1994, Montreuil 1996,…), son autre particularité est qu’il déteste les journalistes et refuse toutes les interviews.
Avez-vous deviné? Oui oui, c’est bien aujourd’hui l’anniversaire de Lewis TRONDHEIM!