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Rosinski arrête Thorgal
Ce mardi 28 août, les éditions du Lombard ont présenté à Bruxelles la couverture du prochain Thorgal intitulé « Aniel » dessiné par Rosinski et scénarisé par Yann.
Mais on a appris également que le dessinateur Grzegorz Rosinski, âgé de 77 ans, arrête sa série phare entamée il y a 40 ans déjà ! Et c'est Fred Vignaux, actuellement chargé du dessin de la série Kriss de Valnor, qui est le successeur désigné pour la poursuite de cette saga familiale et éthique.
Avec 15 millions d'exemplaires vendus et 400 000 titres vendus chaque année, Rosinski cesse donc Thorgal, comme l'avait déjà fait son co-créateur Jean Van Hamme en 2007, mais il ne dépose pas ses pinceaux pour autant, il a d’autres projets dans ses cartons.
En attendant, nous sommes curieux de découvrir comment Yann (quatrième scénariste de la série après Jean Van Hamme, Yves Sente et Xavier Dorison) est parvenu à réunir dans ce 36ème album la série principale et ses différents spin-offs (Louve et Kriss de Valnor) car depuis la création des Mondes de Thorgal en 2010 par l'éditeur et scénariste Yves Sente, il était prévu que la famille de Thorgal se retrouve et puisse enfin jouir de retrouvailles bien méritées.
Sortie de « Aniel » le 23/11/18 aux éditions du Lombard.
Créée par Bill WATTERSON le 18 novembre 1985, la série s'est terminée le 31 décembre 1995, après dix ans de parutions à raison d'une bande par jour, et d'une planche hebdomadaire en couleur. Elle a, durant cette période, connu un succès fulgurant, et été publiée par plus de 2 400 journaux de par le monde. À ce jour, plus de trente millions d'albums ont été imprimés, et Calvin et Hobbes sont devenus une nouvelle référence de la culture populaire.
La série décrit le quotidien de Calvin, enfant plutôt solitaire et très imaginatif, du double point de vue de Calvin lui-même et de son environnement, le comique naissant souvent de la différence de vision entre les protagonistes.
Aux yeux de Calvin, sa peluche, Hobbes, est une sorte de tigre anthropomorphe doué de parole et d'une personnalité propre alors que tous les autres personnages le voient comme un simple jouet. La série joue souvent sur cette double nature de Hobbes et l'ambiguïté n'est volontairement jamais levée.