« ’P’tit bout d'chique » sur Ulule!
L’ « autre » série phare de François Walthéry enfin en intégrale (aux éditions du Tiroir, via Ulule).
On ne présente plus Le p’tit bout d’chique dont la poésie, la tendresse et l’humour firent les beaux jours du journal Spirou.
Voici enfin rassemblé, dans un beau volume de 160 pages, l’intégralité des planches dessinées par François Walthéry l’auteur de Natacha. Cerise sur le gâteau, 44 pages inédites en album ainsi qu’un dossier de présentation richement illustré.
A l’heure de la rédaction de cette news, ce projet participatif avait déjà allègrement dépassé son objectif, le rendant donc totalement viable. D’autant que les Editions du Tiroir ont déjà annoncé avoir imprimé les albums, et qu’ils se retrouveront dans les commerces (en tout cas pour la Belgique) en Décembre (mais sans les contreparties Ulule, évidemment).
Un simple clic sur l’une des images de cet article vous propulsera directement sur la page Ulule.
Le cadeau idéal pour les fêtes !

Maryse DUBUC, scénariste des Nombrils est née à Sherbrooke (Québec) le 21 octobre 1977.
Après avoir étudié en Lettres françaises, elle publie divers ouvrages catégorisés « Jeunesse » chez Bayard, Vent d’Ouest,…
En 2006, elle lance avec son compagnon DELAF la série « Les nombrils ».
Pour cette série, elle a reçu le Prix du meilleur scénariste décerné lors de la 6e édition des « Joe Shuster Awards » organisé à Toronto en juin 2010.
Pour en savoir plus sur DELAF, rendez-vous dans cette rubrique, le 09 octobre prochain (c’est dans longtemps, je sais!)

Le Journal de Mickey a débuté en France sous l'impulsion de Paul Winkler, fondateur de l'agence Opera Mundi, détentrice des droits des bandes dessinées Disney en France, ainsi que d'autres comics américains. Il est destiné aux enfants de 7 à 13 ans. La première édition est datée du 21 octobre 1934.
Le magazine révolutionne la presse jeunesse française et permet l'arrivée des productions de comics américains en France en plus grand nombre, plusieurs magazines similaires sont ainsi lancés dans les années suivantes. Cette période se voit même nommée "l'Âge d'Or de la Bande dessinée" .