- Milan Morales
- Divers
A peine sorti, le BDM 2017-2018 est violemment décrié par Michel Denni!
Mais outre ses nouvelles mensurations, c'est un post de Michel Deni qui donne à réfléchir quant à cette nouvelle édition du BDM...

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Toutes les séries ou les ouvrages non-côtés ont disparu. Certes, on ne pourra donc plus s’en servir comme Bible ultime pour rechercher tout ce qui est paru dans le IXème Art, mais la mise en page, le chapitrage sont beaucoup plus simples et plus aérés.

Si les premiers échos sont très positifs quant à sa mise en page, il semblerait que maintes ouvrages parus en 2014-2016 figurent aux abonnés absents.
Mais ce qui met le feu aux poudres actuellement est le Brulot lancé par Michel Denni, au sujet donc de ce nouveau BDM! (commentaire trouvé sur BDZoom).

Voilà qui est bien inhabituel dans le milieu du IXème Art; je ne vous cache pas que personnellement, je comptais acheter cette nouvelle édition, (chose que je n’ai plus faite depuis 10ans). Là, avec ce courrier, je suis quelque peu refroidi dans mon élan…

Né en mai 1965 à Ixelles, Bernard VRANCKEN découvre très vite sa voie: c’est ainsi qu’à l’âge de 15 ans, il se place parmi les lauréats du concours organisé par l'Académie des Beaux-Arts, ce qui lui donne l'occasion d'approcher de grosses pointures de la BD, telles que FRANQUIN ou Yvan DELPORTE. Dès 16 ans, il publie dans le journal "Tintin" quelques grandes épopées historiques.
Si les cours de Saint-Luc en Architecture ne l'inspirent guère, il fréquente assidument ceux donnés par Eddy Paape à l'Académie de Saint-Gilles.
C’est cependant avec Stephen DESBERG qui lanceront la série romantique « Le sang noir », avant d’imaginer «I.R.$.» pour la collection Troisième Vague Lombard, qui court après les grands fraudeurs du fisc depuis 1999.