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Angoulême 2018 - Compte-rendu
Aller au Festival d’Angoulême, c’est tout un programme. Angoulême ce sont des aspects positifs et négatifs évidemment, mais c’est la Mecque de la BD !
C’est un festival où l’on peut rencontrer des tas d’auteurs parfois peu ou pas visibles ailleurs, des artistes internationaux, où l’on peut visiter des expositions variées, assister à des rencontres, voir les stands de nombreux éditeurs et de para bd, c’est toute une ville qui se pare aux couleurs de la bd.

Certes c’est aussi mercantile, un prix d’entrée pas donné, l’achat obligatoire sur beaucoup de stands, des heures de queue, des levers aux aurores pour certains et des courses à l’ouverture pour d’autres (ou les mêmes), des rencontres très courtes avec les auteurs prisés qui abattent des tas dédicaces à l’heure…

Mais c’est une ambiance extraordinaire, des animations fréquentes un peu partout, de la fatigue, les off du soir, les discussions entre amis. Bref, pour tout amateur de bande dessinée, le FIBD est à faire au moins une fois dans sa vie, même si on n’y reste pas les 4 jours !
Rencontres avec deux grands mangakas, récompensés tous les deux d’un Fauve d’honneur: Mashima (Fairy Tail)

Naoki Urosawa (Monster, 20 Century Boys, Pluto,…) avec notre chroniqueuse Koda

Conférence table ronde avec Charlie Adlard et Sean Philips sur leur parcours dans les comics.
Exposition Cuzor et Sente pour la magnifique BD « Cinq branches de coton noir » (Dupuis)

Exposition en l’honneur des 70 ans de « Alix » de Jacques Martin

Exposition Titeuf place de l’Hôtel de Ville

Et pour les plus curieux, un beau reportage de Dargaud d'une journée type au festival ici

Créée par Bill WATTERSON le 18 novembre 1985, la série s'est terminée le 31 décembre 1995, après dix ans de parutions à raison d'une bande par jour, et d'une planche hebdomadaire en couleur. Elle a, durant cette période, connu un succès fulgurant, et été publiée par plus de 2 400 journaux de par le monde. À ce jour, plus de trente millions d'albums ont été imprimés, et Calvin et Hobbes sont devenus une nouvelle référence de la culture populaire.
La série décrit le quotidien de Calvin, enfant plutôt solitaire et très imaginatif, du double point de vue de Calvin lui-même et de son environnement, le comique naissant souvent de la différence de vision entre les protagonistes.
Aux yeux de Calvin, sa peluche, Hobbes, est une sorte de tigre anthropomorphe doué de parole et d'une personnalité propre alors que tous les autres personnages le voient comme un simple jouet. La série joue souvent sur cette double nature de Hobbes et l'ambiguïté n'est volontairement jamais levée.






















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