Série: Firewall #2
Auteurs: Jean-Jacques Dzialowski, Cyril Saint-Blancat, Xavier Bétaucourt
Editeur BD: Grand Angle
Une chronique BD: Génération BD
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Grâce à Clémence, la jeune agent de Firewall, Paul est sauvé des ondes GSM émises par La Louve et les talibans dirigés par Kader. Paul en garde une hypersensiblité aux ondes des portables.
Des fissures se créent néanmoins chez les « méchants », La Louve cherchant principalement des intérêts financiers tandis que Kader veut éradiquer le monde occcidental pour que le monde musulman puisse reconquérir la terre.
Les talibans vont voler à La Louve le module émettant les ondes meutrières et La Louve n’aura plus qu’à se résoudre à informer Firewall de ce vol, elle le fera via un agent double, Damodar, à la solde de Kader !. Comme le module est muni d’un mouchard, il est relativement facile de le situer.
Au moment de donner l’assaut, les choses ne se présente pas comme prévu et Clémence est enlevée par les talibans. Elle réussi a enclencher le module qui donne sa nouvelle position.
Un nouvel assaut est donné, la bande de Kader va mourir « en martyr de la cause » et Paul aura le bon réflexe de détruire le sac de Damodar dans lequel il avait subtilisé de quoi créer un nouveau module. La Louve n’en est pas pour autant démantelée, la suite aux prochains épisodes.
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Le tome de 2 de Firewall reste très agréable à lire, c’est un livre d’actions mais aussi à connotation politique et culturelle. Les situations s’enchaînent à un bon rythme et le tout reste relativement réaliste.
Le dessin de Dzialowski me semble y avoir gagné en maturité même si le premier tome était déjà très correct. On rentre dans son univers comme dans un bon film d’actions. Il ne faut pas chercher un message subliminal à l’histoire mais firewall offre une bonne détente. Le duo du vieux flic un peu perturbé et de la petite jeune futée fonctionne bien.
On pourrait se demander si les talibans ne sont pas un peu trop caricaturés dans ce récit mais lorsqu’on voit qu’ils n’ont pas hésité récemment à abattre de sang froid une jeune fille de 14 ans qui avait osé créer un blog sur le droit à l’éducation et la statut de la femme (une recherche sur internet du nom de Malala Yousafzai vaut le détour), on peut se dire qu’on n’en est finalement vraiment pas si loin…
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