L’histoire de ce tome 01, en quelques lignes…

Chapitres 1 à 5

Mort mystérieuse en plein cœur de Shinjuku : un professeur décède dans des conditions étranges.

8 années plus tard, aujourd’hui : Yodomi Arakawa son fils reçoit un paquet adressé à son paternel et contenant un crâne parlant qui lui avoue être responsable de la mort de son père… mais ce n’est pas tout : il dote l’adolescent du pouvoir de devenir invisible.. 

En ouvrant simplement ce paquet, le jeune Yodomi est devenu un Skeleton, un homme invisible… et toute sa vie tranquille et rangée en sera chamboulée à tout jamais !

Ce qu’on en a pensé…

Tokadu Kondo place son jeune héros face au dilemme classique de l’utilisation malveillante ou bienveillante d’un super pouvoir, en l’occurrence ici la capacité de se rendre invisible. 

L’auteur confrontera donc aussi son personnage principal dans une réalité alternative où se livre une guerre fratricide entre humain doté de supers pouvoirs : téléportation, capacité de se soigner instantanément, transfert de matière,…

Comme bien souvent avec un premier tome, l’auteur cherche avant tout à poser l’univers de son histoire et nous présente ses différents protagonistes. En cela, le début de cette nouvelle série semble avoir des bases similaires au gros hits actuels du shônen : Jujutsu Kaisen : sociétés secrètes, reliques ayant des pouvoirs surnaturels…

Pour l’heure donc, rien de bien nouveau ou transcendant, mais ce n’est nullement surprenant pour un tome introductif.  Connaissant le travail de l’éditeur Kurokawa, gageons qu’il n’a pas acquis cette nouvelle série juste parce qu’elle coche toutes les cases d’un parfait remake d’un « Bleach / Aijin / Jujutsu Kaisen like ».  

A suivre avec grande attention donc (le #2 sortira chez nous le 11 avril 2024).

Pour en savoir (encore) + …

Ce manga, fruit du travail de Tokaku Kondo (dont c'est la première série), a été lancé au Japon en 2022 dans le magazine numérique Shonen Jump+ des éditions Shûeisha, et compte à ce jour 4 tomes qui se sont classés dans le Top 5 du magazine.

Milan Morales