- Milan Morales
- BD
Le bataclan s’ouvre (aussi) en BD.

L’objectif est de « Dessiner, témoigner, résister à l’horreur, sortir du Bataclan. » Une thérapie forcément, un exutoire qui nous raconte l’horreur vécue de l’intérieur et la lente reconstruction qui suit.

Présentation de l’éditeur :
Deux mains qui se tiennent du bout des doigts dans la pénombre. Baignant dans le sang des autres, Fred et celle qu’il prénomme Élisa. Nous sommes le 13 novembre 2015, dans la fosse du Bataclan. Ils étaient venus pour le concert des Eagles of Death Metal, mais l’ambiance bascule soudainement dans une tragédie historique. Deux heures durant, leur vie ne tient qu’à un fil. Fred s’emploie à réconforter sa jeune voisine blessée à la jambe. Dessiner, témoigner, résister à l’horreur, sortir du Bataclan Le récit de l’après-attentat témoigne de façon bouleversante, mais toujours digne, de sa vie en mille morceaux qu’il lui faut reconstituer comme un puzzle. Durant des mois, Fred a l’impression étouffante d’être encore prisonnier du Bataclan. Graphiste professionnel, il reprend peu à peu le crayon et le fil de ses idées. Il raconte ses amis rescapés, les réactions de sa famille, l’indicible, ses phobies et ses sentiments intimes de survivant, ses relations avec la police, la justice et sa psy, le jour où il a été reconnu victime, son retour difficile au travail, son enfance en banlieue sensible et le mouvement salafiste, sa tolérance, ses convictions politiques et ses passions rock.
Mon Bataclan
Auteur : Fred Dewilde

Créé par Steve Gerber en 1973 pour la « maison des idées » Marvel, Howard The Duck est un canard humanoïde évoluant dans un monde bizarre et absurde. Il est accompagné dans ses aventures par une femme humaine Beverly Switzler.
Howard apparaît rarement dans d'autres bandes dessinées, mais officiellement il fait bien partie de la continuité de l'Univers Marvel au même titre que Spider-Man, Hulk et les X-Men
Toutefois, il apparaît peu, son caractère ridicule le rendant inutilisable avec les autres personnages, excepté pour les auto-parodies.
L'ambiguïté de son appartenance à l'univers de fiction est montrée dans Civil War où Howard souhaite se faire recenser, mais se voit répondre que l'administration préfère déclarer officiellement qu'il n'existe pas.






















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