- Milan Morales
- BD
Le bataclan s’ouvre (aussi) en BD.

L’objectif est de « Dessiner, témoigner, résister à l’horreur, sortir du Bataclan. » Une thérapie forcément, un exutoire qui nous raconte l’horreur vécue de l’intérieur et la lente reconstruction qui suit.

Présentation de l’éditeur :
Deux mains qui se tiennent du bout des doigts dans la pénombre. Baignant dans le sang des autres, Fred et celle qu’il prénomme Élisa. Nous sommes le 13 novembre 2015, dans la fosse du Bataclan. Ils étaient venus pour le concert des Eagles of Death Metal, mais l’ambiance bascule soudainement dans une tragédie historique. Deux heures durant, leur vie ne tient qu’à un fil. Fred s’emploie à réconforter sa jeune voisine blessée à la jambe. Dessiner, témoigner, résister à l’horreur, sortir du Bataclan Le récit de l’après-attentat témoigne de façon bouleversante, mais toujours digne, de sa vie en mille morceaux qu’il lui faut reconstituer comme un puzzle. Durant des mois, Fred a l’impression étouffante d’être encore prisonnier du Bataclan. Graphiste professionnel, il reprend peu à peu le crayon et le fil de ses idées. Il raconte ses amis rescapés, les réactions de sa famille, l’indicible, ses phobies et ses sentiments intimes de survivant, ses relations avec la police, la justice et sa psy, le jour où il a été reconnu victime, son retour difficile au travail, son enfance en banlieue sensible et le mouvement salafiste, sa tolérance, ses convictions politiques et ses passions rock.
Mon Bataclan
Auteur : Fred Dewilde

MALIK, pseudo de William Tai est un auteur belge né à Paris. On lui doit le très bronsonien (Bronsonesque ?!?) Archie Cash avant que son style réaliste ne devienne plus léger afin de narrer les aventures de Cupidon, composées directement depuis le fauteuil du célèbre scénariste Raoul CAUVIN.
Il est décédé tragiquement dans l’incendie de sa maison le 11 décembre 2020…

Evidemment, cet auteur français né à Fontainebleau en cette date de l’année 1964 n’est guère connu sous son vrai nom..
Pourtant, il est connu pour être très prolifique et pour son style zoomorphique.
On lui doit un célèbre « Lapinot », un royal « Adalbert », les séries « Donjon …»
Multi-primé aussi (Angoulême 2006, Alph-art 1994, Montreuil 1996,…), son autre particularité est qu’il déteste les journalistes et refuse toutes les interviews.
Avez-vous deviné? Oui oui, c’est bien aujourd’hui l’anniversaire de Lewis TRONDHEIM!






















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