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- BD
La BD des "Pieds Nickelés" fête ses 100 ans ce 03 juin 2008.
04 juin 1908 – 04 juin 2008. Voila juste 100 ans que les « Pieds Nickelés » ont vu le jour dans le monde de la BD.
Le début des aventures de nos célèbres escrocs a commencé le 04 juin 1908. Jusqu’en 1934, les personnages de Croquignol, Filochard & Ribouldingue seront tout droit sorti des crayons et plume de Louis Forton.
A la mort de celui-ci, en 1934, ce seront, chronologiquement Aristide Perré, Albert Georges Badert et Georges Pellos qui se succèderont à la reprise des aventures des « Pieds Nickelés » et ce jusqu’aux années 80.
Les « Pieds Nickelés » ont sans doute été la première bande dessinée à avoir été retranscrite pour le cinéma. En effet entre 1916 et 1918, Emile Cohl a tiré 5 dessins animés des aventures de nos petits escrocs.
Une première version film live fut créée par Mark Abouker, puis par Rellys, Baquet et Parédès.
La version la plus connue par les cinéastes sera celle filmée en 1964 par Jeran-Claude Chambon, ou de célèbres acteurs prirent les rôle des « Pieds Nickelés », Charles Denner (Filochard), Michel Galabru (Ribouldingue) et Jean Rochefort (Croquignol).
par Raphaël Carralcazar Martin (BeDemon)
Une première version film live fut créée par Mark Abouker, puis par Rellys, Baquet et Parédès.
La version la plus connue par les cinéastes sera celle filmée en 1964 par Jeran-Claude Chambon, ou de célèbres acteurs prirent les rôle des « Pieds Nickelés », Charles Denner (Filochard), Michel Galabru (Ribouldingue) et Jean Rochefort (Croquignol).
par Raphaël Carralcazar Martin (BeDemon)
Il était une fois un 30 Novembre ...
Gérard LAUZIER
Né le 30 novembre 1932 à Marseille et mort le 6 décembre 2008 à Paris, LAUZIER était un auteur de BD, cinéaste et dramaturge, qui se caractérisait par un sens aigu de la comédie et du dialogue ravageur.
Il fut l’un des auteurs-phares du journal Pilote des décennies ’70 et ’80.
Dans des BD que les bien-pensants trouveraient aujourd’hui politiquement incorrectes, il fit un portrait au vitriol (mais oh combien hilarant) de la société d’alors. Pour preuve son « Souvenir d’un jeune homme » en 1982 ou encore en 1978 avec « La course du rat » où il tournait en totale dérision la caste des cadres ambitieux et sans scrupules (les 2 sont parus chez Dargaud).