En Librairies:
Les héritages d'Henri Vernes
Henri Vernes, l'auteur de Bob Morane est désormais enterré à Tournai, sa ville de coeur.
Mais qu'en est-il de ses différents héritages ?
Pour ses romans les choses sont claires depuis quelques années:
Le Commandant Morane officie désormais sous la plume de Gilles Devindilis qui a repris en main sa destinée. Si certains fans crient à l'outrage, il faut rappeler que l'auteur a été désigné par Henri Vernes lui-même et qu'il s'en sort bien.
Il est intéressant de noter aussi qu'Henri Vernes s'était remis à l'écriture sur un ultime roman "Les pirates d'Ananké" et bien qu'il n'ait pas eu le temps de le terminer, il a, selon son secrétaire Alain De Grauw, laissé suffisamment d'indications à 2 autres auteurs pour que ce dernier soit publié prochainement.
Pour le versant BD, on attend à la rentrée la reprise de Christophe Bec. Si notre scénariste n'a pas eu la chance de lui présenter les planches de son reboot, nous sommes persuadés qu'il saura reprendre les rênes de la série BD avec passion et succès! (un clic sur la cover pour relire notre news)
Et enfin et surtout, pour son héritage financier, ce diable d'homme a décidé de léguer sa fortune à Veeweyde, association de protection des animaux. Voilà un geste noble qui fera nombre d'heureux!
Pour en savoir plus, on vous conseille le reportage de NoTélé, que vous pourrez voir en cliquant simplement sur cette image.
Créée par Bill WATTERSON le 18 novembre 1985, la série s'est terminée le 31 décembre 1995, après dix ans de parutions à raison d'une bande par jour, et d'une planche hebdomadaire en couleur. Elle a, durant cette période, connu un succès fulgurant, et été publiée par plus de 2 400 journaux de par le monde. À ce jour, plus de trente millions d'albums ont été imprimés, et Calvin et Hobbes sont devenus une nouvelle référence de la culture populaire.
La série décrit le quotidien de Calvin, enfant plutôt solitaire et très imaginatif, du double point de vue de Calvin lui-même et de son environnement, le comique naissant souvent de la différence de vision entre les protagonistes.
Aux yeux de Calvin, sa peluche, Hobbes, est une sorte de tigre anthropomorphe doué de parole et d'une personnalité propre alors que tous les autres personnages le voient comme un simple jouet. La série joue souvent sur cette double nature de Hobbes et l'ambiguïté n'est volontairement jamais levée.