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"Aria # 31", de Michel et Nadine Weyland en preview sur notre site.
Découvrez la preview du 31ème album de la série « Aria » de Michel et Nadine Weyland sur notre site generationbd.com
Edité par les éditions Dupuis, l'album sortira dans toutes les bonnes librairies BD le 05 juin 2009.
Découvrez la preview du 31ème album de la série « Aria » de Michel et Nadine Weyland sur notre site generationbd.com
Edité par les éditions Dupuis, l'album sortira dans toutes les bonnes librairies BD le 05 juin 2009.
Présentation de l'album BD "Aria # 31".
Au moment où nous avions laissé Aria à la fin du 30ème album, elle était célébrée comme la future sauveuse du petit peuple d'Ovéron. Et nous pensions tout naturellement que cette guerrière confirmée allait mettre sur pied une armée nombreuse dont elle aurait pris le commandement et avec laquelle elle aurait bouté l'envahisseur trigyre hors du pays.
Nous nous attendions à des déferlements militaires, mais l'histoire prend un autre cours : les responsables de la résistance susceptibles de fournir des guerriers à Aria disposent d'une arme secrète tout à fait inattendue. Elle va permettre à Aria de détruire l'ennemi de l'intérieur, seule, et sans effusion de sang.
Invraisemblable ? Non, si on connaît le phénomène qui a engendré cette arme, et ce phénomène a un rapport étroit avec Mamaïtha, une femme à l'écoute des autres.
Non-dits et métaphores abondent dans "La Mamaïtha", 31ème album des aventures d'Aria. Les couleurs sont un ravissement pour l'oeil. Le récit est un bon moment de lecture. Les intellectuels aimeront le prendre comme point de départ de leurs débats sur la manipulation des bons citoyens dans notre société.
Pour patienter, découvrons-en quelques images avec nos jeux javascript sur l’espace web dédié à Aria et ses auteurs Michel et Nadine Weyland. http://users.skynet.be/nousaimonsariaweyland







Olivier est né une nuit d’orage de l’année 1970. Il tombait des cordes, ce qui le prédestinait à devenir violoniste. Mais comme le bébé avait bonne mine, il opta pour une carrière dans le dessin. Durant son enfance, ses professeurs disaient souvent qu’il lui manquait une case. Olivier, pour se soigner, se lança dans la BD. Il devint alors associable et resta dans sa bulle, ne s’exprimant que par onomatopées. Les pages blanches lui provoquant des idées noires, il ne cessa de gribouiller et vit soudain la vie en rose.
Sa Superpepette martyrisa Spirou Hebdo, sa Loana Jones tortura Pif Gadget et ses Provençaux sévirent dans toute la Paca.
Olivier traumatise aussi les écoliers du sud de la France où il donne des cours de BD régulièrement. Les nuits de pleine lune, retrouvant une certaine lucidité, il délaisse la BD humoristique et se lance alors dans des projets réalistes, comme Cézanne ou Dinia… Un garçon très dur à cerner, finalement…
(Source: artisbd)