Akira TORYAMA est décédé cette nuit
Nuage magique ! :( :( :(
Avec consternation, le monde s'est réveillé ce matin en apprenant la disparition inopinée de l'un des plus grands Mangaka de l'histoire, Akira Toryama, à l'âge de 68 ans d'un hématome sous-dural.
Comme toujours avec nos amis japonais, il y a délai entre la date effective d'un décès et celle où l'on annonce dans les médias cette disparition; ici donc, c'est en date du 1er mars que le Maitre s'est éteint.
Akira TORYAMA né le 5 avril 1955 à Kiyosu (Japon), était connu et célèbre pour sa série Dragon Ball, sortie en 1984. contant la vie et les aventures du prodige des arts martiaux Son Goku depuis son enfance. Il s’était librement inspiré d’un roman chinois du XVIe siècle et intitulé « La Pérégrination vers l’Ouest ».
Le manga s'est vendu à plus de 260 millions d'exemplaires dans le monde et a connu plusieurs adaptations à la télévision, au cinéma ou en jeu vidéo. Également de nombreuses suites, comme Dragon Ball Z ou plus récemment Dragon Ball Super.
Le mangaka avait été couronné en 2013 d’un prix spécial lors du 40e anniversaire du festival d’Angoulême.
Il a aussi été fait chevalier de l'Ordre des arts et des lettres à l'ambassade de France au Japon en 2019.
Son premier manga est Wonder Island, publié dans le Weekly Shonen Jump en 1978. Il connaîtra alors un deuxième succès avec son manga Dr Slump publié dans Shonen Jump de 1980 à 1984. Dragon Ball a été publiée de 1984 à 1995.
Cette oeuvre culte pour 3 générations de lecteurs connait un nouveau prolongement depuis 2015 sous l’appellation « Dragon Ball Super ».

Olivier est né une nuit d’orage de l’année 1970. Il tombait des cordes, ce qui le prédestinait à devenir violoniste. Mais comme le bébé avait bonne mine, il opta pour une carrière dans le dessin. Durant son enfance, ses professeurs disaient souvent qu’il lui manquait une case. Olivier, pour se soigner, se lança dans la BD. Il devint alors associable et resta dans sa bulle, ne s’exprimant que par onomatopées. Les pages blanches lui provoquant des idées noires, il ne cessa de gribouiller et vit soudain la vie en rose.
Sa Superpepette martyrisa Spirou Hebdo, sa Loana Jones tortura Pif Gadget et ses Provençaux sévirent dans toute la Paca.
Olivier traumatise aussi les écoliers du sud de la France où il donne des cours de BD régulièrement. Les nuits de pleine lune, retrouvant une certaine lucidité, il délaisse la BD humoristique et se lance alors dans des projets réalistes, comme Cézanne ou Dinia… Un garçon très dur à cerner, finalement…
(Source: artisbd)