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Zoo le Mag, Clap 68 !
L’un des rendez-vous incontournable de la presse spécialisée du IXème Art vient de sortir dans sa 68ème itération.
Partons à la croisée des mondes (et de bien d’autres choses!) en suivant ce lien.
Diffusé à 70 000 exemplaires, ce bimestriel gratuit est à chaque fois une mine d’or pour qui s’intéresse à la Bande Dessinée, mais aussi aux mondes des Mangas ou des Comics.
En voici le descriptif, selon le rédacteur.
« Zoo le Mag » se prépare à fêter cette fin d’année avec à la Une l’adaptation BD du best-seller A la Croisée des mondes par Thomas Gilbert et Stéphane Melchior chez Gallimard.
Vous trouverez dans ce nouveau numéro un dossier Grande Guerre avec notamment une interview exclusive de Tardi à l’occasion de la sortie du tome 3 de Moi René Tardi, Prisonnier de Guerre Au Stalag IIB T.3.
Également au sommaire : la fin de la série Lou de Julien Neel aux éditions Glénat, American Gods et Batman White Knight chez Urban Comics, L’homme sans talent, l’autofiction de Yoshiharu Tsuge aux éditions Atarible et le dernier Astérix à paraître le 5 décembre…
Ce numéro compte 48 pages et est accessible dans sa version PDF en cliquant sur sa couverture (ci-dessous donc).
Créée par Bill WATTERSON le 18 novembre 1985, la série s'est terminée le 31 décembre 1995, après dix ans de parutions à raison d'une bande par jour, et d'une planche hebdomadaire en couleur. Elle a, durant cette période, connu un succès fulgurant, et été publiée par plus de 2 400 journaux de par le monde. À ce jour, plus de trente millions d'albums ont été imprimés, et Calvin et Hobbes sont devenus une nouvelle référence de la culture populaire.
La série décrit le quotidien de Calvin, enfant plutôt solitaire et très imaginatif, du double point de vue de Calvin lui-même et de son environnement, le comique naissant souvent de la différence de vision entre les protagonistes.
Aux yeux de Calvin, sa peluche, Hobbes, est une sorte de tigre anthropomorphe doué de parole et d'une personnalité propre alors que tous les autres personnages le voient comme un simple jouet. La série joue souvent sur cette double nature de Hobbes et l'ambiguïté n'est volontairement jamais levée.