Depuis le 24 août, on assiste à une déferlante rose à l'occasion de la sortie du tome 12 de Kid Paddle intitulé "Panik Room"! L'équipe de Mad Fabrik n'a pas fait les choses à moitié: pub télé, affichage métro, tournée de dédicaces (on en parle ici), presse nationale et régionale,…
Résultat : depuis 3 semaines, le tome 12 est numéro 1 des ventes BD en Francophonie, mais il est aussi dans le top des ventes de livres en France, Belgique, Suisse et au Canada.
Et la rentrée n'est pas seulement littéraire puisqu'on retrouve une série de produits dérivés: papeterie, bagages scolaires, stickers Panini à collectionner, et une action dans les restaurants de la chaîne Cora durant le mois de septembre.
- Raphael Carralcazar "BeDemon"
- BD
Preview BD de "Dwarf # 2", une série signée Shovel et édité chez Delcourt

Découvrez en preview la suite de la nouvelle série de notre ami outre-équatorien venu de ses îles lointaines de la Réunion : Shovel.
« Dwarf » fut l’année passée une révélation pour nous. Shovel de part sa technique nous apparaît comme un nouveau grand nom de la BD actuelle. Fort de son succès après son premier tome, Shovel a fort évolué pour la sortie de son deuxième tome.
Preuve en est, vu que « Dwarf » vient d’être traduit en plusieurs langues dont celle de « Vondel » (alias le néerlandais).
Les Journées du Patrimoine se dérouleront côté Wallonie le 10 et 11 septembre et auront pour thème la littérature, en ce compris la bande dessinée. Des haut-lieux du patrimoine wallon seront évoqué par le biais de la BD, mais aussi d'autres initiatives, avec entre autres : une expo de planches de Cauvin à Fontenoy, à Ecaussinnes (au chateau de la Follie), expo des travaux de Tarumbana (Le Banni), à Tournai, visite du site de l'ancienne imprimerie Casterman et de ses archives,
JC Servais à Chaudfontaine (dédicace ?),Weyland expose dans la chapelle de Saives et dédicace de Marco Venanzi et Dusart à Nandrin. Pour tout savoir : http://www.journeesdupatrimoine.be/sites/all/themes/phase2/pdf/Brochure_cover_HR.pdf

Olivier est né une nuit d’orage de l’année 1970. Il tombait des cordes, ce qui le prédestinait à devenir violoniste. Mais comme le bébé avait bonne mine, il opta pour une carrière dans le dessin. Durant son enfance, ses professeurs disaient souvent qu’il lui manquait une case. Olivier, pour se soigner, se lança dans la BD. Il devint alors associable et resta dans sa bulle, ne s’exprimant que par onomatopées. Les pages blanches lui provoquant des idées noires, il ne cessa de gribouiller et vit soudain la vie en rose.
Sa Superpepette martyrisa Spirou Hebdo, sa Loana Jones tortura Pif Gadget et ses Provençaux sévirent dans toute la Paca.
Olivier traumatise aussi les écoliers du sud de la France où il donne des cours de BD régulièrement. Les nuits de pleine lune, retrouvant une certaine lucidité, il délaisse la BD humoristique et se lance alors dans des projets réalistes, comme Cézanne ou Dinia… Un garçon très dur à cerner, finalement…
(Source: artisbd)