Ce titre pour paraphraser une chanson bien connue de Joe Dassin
Cet été, du 6 au 30 juillet, la galerie Daniel Maghen a décidé de mettre le métro parisien à l’honneur, s’associant avec le collectif « De Lignes en Ligne », groupe de dessinateurs, peintres, graphistes, d’illustrateurs et d’auteurs BD qui croquent sur le vif des scènes de vie, des portraits dans les métros parisiens dans leur style et sur des supports parfois surprenants, comme des tickets de métro ! Vous avez encore le temps de repasser votre smoking, le vernissage a lieu ce soir à 19.00h.
http://www.danielmaghen.com/fr/exposition-thematique-sur-le-metro-parisien_e56.htm
http://www.delignesenligne.com/
Shesivan
Plus que quarante fois dormir et nous pourrons découvrir une nouvelle librairie spécialisée en bandes dessinées. Aux commandes, Tony Larivière, notre collègue de l’A.S.B.L. La Grande Ourse, laquelle organise annuellement le festival d’Andenne. Et c’est précisément à Andenne que se situera « Atomik Strip » dont l’ouverture est prévue le 15 août.
Ci-dessus vous pouvez découvrir le logo dû au maître graphiste Antonio Lapone
L’adresse : rue du Commerce, 32 à 5300 Andenne.
http://atomik-strip.over-blog.com/
Shesivan
- Raphael Carralcazar "BeDemon"
- BD
Preview BD en exclu sur notre site de "Western Valley # 1" de Di Giorgio & Mormile.

Voici la preview pour notre site du 1er tome d’une nouvelle série signée Jean-François Di Giorgio (scénario) et Cristina Mormile (dessin) éditée aux éditions Soleil.
Voila qui est peu commun, un western dessiné par une dessinatrice en plein essor, qui fait de plus en plus parler d’elle par son talent grandissant.
Nous avons eu la chance de suivre Cristina Mormile depuis quelques années avec les sorties de « Eden Killer » et « Le journal d’Ambre » (lire la suite...)

"The Boyz Band Dessiné", ce sont 6 potes qui en plus d'être de célèbres noms de la BD, sont également des musicos hors pairs. Leur particularité est de reprendre des tubes interplanétaires et de les assaisonnés sauce BD.
Curieux




Olivier est né une nuit d’orage de l’année 1970. Il tombait des cordes, ce qui le prédestinait à devenir violoniste. Mais comme le bébé avait bonne mine, il opta pour une carrière dans le dessin. Durant son enfance, ses professeurs disaient souvent qu’il lui manquait une case. Olivier, pour se soigner, se lança dans la BD. Il devint alors associable et resta dans sa bulle, ne s’exprimant que par onomatopées. Les pages blanches lui provoquant des idées noires, il ne cessa de gribouiller et vit soudain la vie en rose.
Sa Superpepette martyrisa Spirou Hebdo, sa Loana Jones tortura Pif Gadget et ses Provençaux sévirent dans toute la Paca.
Olivier traumatise aussi les écoliers du sud de la France où il donne des cours de BD régulièrement. Les nuits de pleine lune, retrouvant une certaine lucidité, il délaisse la BD humoristique et se lance alors dans des projets réalistes, comme Cézanne ou Dinia… Un garçon très dur à cerner, finalement…
(Source: artisbd)