Tombée du Ciel
Dessinateur : Suu Minazuki
Scénariste : Suu Minazuki
Traducteur : Marina Sanchez
L’histoire de ce #4 … en détails & en spoils !
Chapitres 15 à 18
« Quand j’ai ouvert les yeux, J'étais enchaînée. L’homme dont le sourire était extrêmement malveillant m'a regardée et des mots impensables sont sortis de ma bouche : enchantée Maitre, je suis votre … jouet. »
Les choses se compliquent pour notre brave Angeloïd Ikaros: si la menace « Nymph » s’est amenuisée, une nouvelle encore plus terrible est apparue sous la forme angélique de 2 Harpy qui usent sans vergogne de mensonges et de tortures pour s’allier Nymph afin d’éradiquer la Queen Uranus !
Après avoir subi les exactions de ce « Maitre » démoniaque habitant les cieux et dépêchant des armes de destruction massive pour éradiquer sa préférée, Tomoki décide cette fois de lancer une contre-attaque ! Pour cela, avec la technologie des Angeloïds, il veut entree dans un de ses rêves qui servirait de portail entre la Terre & Synapse. Mais est-ce bien safe de pénétrer dans les rêves les plus intimes d’un pervers sexuel ?!? Le danger pourrait bien être plus terrible encore !
Ce qu’on en a pensé… en quelques lignes !
Incroyable ! La semaine passée on vous délivrait la chronique du #3 de cette série et voilà qu’une semaine plus tard, le #4 est de sortie ! Bon, c’est vrai qu’on avait du retard sur ce coup, mais avouez quand même que cette jeune maison d’éditions qu’est Meian se coupe en 8 pour assurer un travail de très haute qualité sensorielle et une publication rapide des tomes !
Oui, on a bien employé le groupe nominal « Haute qualité sensorielle » et il n’est pas du tout galvaudé ! Sincèrement, quel éditeur de mangas peut se targuer de fournir une finition aussi léchée et clean que Meian actuellement ? On adore le travail actuel de nos autres partenaires, mais ce que ce jeune éditeur fait est vraiment sublime ! Et pour être totalement honnête, on est absolument aux antipodes des publications Panini…. (Voilà pourquoi on ne les retrouve pas parmi nos partenaires. Soit, fin de parenthèse !)
4ème tome donc qui suit globalement le même schéma narratif que le volume précédent à savoir : un premier chapitre absolument dramatique de tensions et de combats, suivi directement d’un chapitre de full-détente que le mangaka nous propose de zapper pour poursuivre l’histoire directement au chapitre suivant…
Si vous avez déjà lu notre exxxxcellente chronique du #3, vous savez qu’on a voulu le passer mais qu’en le feuilletant rapidement on est revenu sur notre décision et qu’au final… on a vachement apprécié cette grosse déconnade bien grivoise !
Même schéma donc ici : le vestiaire des filles remplace juste les bains. Pour le reste, notre ado-pervers use encore une fois du convertisseur quantique d’ikaros qui fonctionne parfaitement cette fois…. Jusqu’au moment où il sera pulvérisé par la belle mais explosive Sohara ! Très bon, une fois encore !
Le dernier chapitre nous délivre une clé introductive à l’arc suivant, qui devrait nous emmener dans cet autre royaume… si tout va bien !
Depuis le #3, on sent bien le gigantesque bond qualitatif qu’a fait l’histoire : en à peine quelques pages, on passe de l’étonnement au rire en passant par le suspense de manière très fluide : on se laisse entrainer dans le sillon que nous a creusé le mangaka et on s’y complait…
Cette série a bien réussi à nous surprendre, tant Suu Minazuki parvient à alterner les ambiances et à nous proposer des personnages au départ bien caricaturaux mais qui se révèlent avoir au final beaucoup de caractère ! Et cette fois encore, on s’est fait surprendre plus d’une fois par des rebondissements (ou des chutes de gags!) qu’on n’avait absolument pas vu venir…
A suivre donc !