Le scénario initial, selon l’éditeur …

Une légende raconte qu’un enfant extrêmement fort serait né d’une pêche et baptisé Momotarô. Lorsqu’il devint assez grand et puissant, ce valeureux guerrier aurait chassé les Oni qui pillaient les villages.

Ce héros n’est pas une légende… Tout comme les Oni…
Leurs descendants sont encore parmi nous et la bataille opposant le clan Momotarô au clan des Oni fait rage !

Shiki est un jeune garçon au sang chaud. Alors qu’il vient de se faire renvoyer de l’école, il prend conscience qu’il possède du sang de Oni. Le clan Momotarô le cherche et veut l’éliminer. La quête de liberté de Shiki et des autres Oni commence !

L’histoire de ce 1^er tome en quelques lignes…

Chapitres 1 à 6

Après s’être fait renvoyer de son école, Shiki vit avec son père adoptif, qu’il voit comme étant totalement misérable et has-been…. Contre toute attente pourtant, alors qu’un tueur s’en prends à lui sans aucune raison, Shiki va découvrir que son père en sait beaucoup plus sur ses origines et est capable de se battre contre des fantastiques

combattants issus de l’Agence Momotarô ! Ces derniers ont pour mission d’éradiquer totalement les Oni dont fait partie Shiki !

Le sacrifice de son père va éveiller les pouvoirs de l’adolescent, révélant toute sa puissance brute et sauvage…

Heureusement, il sera pris en charge par un nouveau mentor, faisant partie d’Oni Corp  : Naito Mudano, qui lui enseignera comment utiliser efficacement son puissance en manipulant son sang d’Oni.

Pour y arriver, Shiki sera envoyé à l’académie Rakshasa, sorte d’institut militaire anti-Momotarô, sur la mythique île des Démons…

L’histoire du second tome en quelques lignes…

Chapitres 7 à 15

L’entrainement des futurs membres de l’Oni Corp a commencé : Shiki, en compagnie  de Jin et d’Homare, autres nouvelles recrues, doivent œuvrer en équipe pour ramener une baballe sans se faire capturer. 

Malheureusement, l’ambiance est délétère entre Shiki & Jin et les 2 jeunes Oni préfèrent en venir aux mains en ignorant totalement les consignes…

A suivre, dans la seconde partie de cette double-chronique !