En Librairies:
Un nouveau Scorpion par … Marini !?!
Vous pensiez ne plus jamais revoir le Scorpion sous les traits d’Enrico Marini, son dessinateur originel?
Allons, que nenni: il vient d’ailleurs de faire une chouette annonce!
On le sait, depuis la séparation à l’amiable du duo « Desberg/Marini », la garde de leur enfant était une garde 50/50 (cfr. notre news du 3 septembre 2019 « Un nouveau Sorpion… ou deux??? »)
Depuis, le scénariste Stephen Desberg s’est allié avec un autre dessinateur, Luigi Critone, et continue les aventures du ténébreux Armando. Un second tome est d’ailleurs sur le point de sortir fin Mai 2022 et s’intitulera « La tombe d’un Dieu ».
Mais notre article porte plus sur l’annonce, (rapidement effacée?) qu’Enrico Marini a publiée sur son mur Facebook:
Notre dessinateur a commencé à travailler âprement sur le scénario de « son » Scorpion! Il s’intitulera « L’épée de Tolède ».
Patience néanmoins il nous faudra faire preuve: l’ami Enrico axe tous ses efforts sur la conclusion de son diptyque « Noir Burlesque » et a déjà annoncé précédemment qu’ensuite il comptait bien relancer sa série « Les Aigles de Rome »…
Pour les grands fans de son dessin que nous sommes, voilà qui est une magnifique nouvelle…
Créée par Bill WATTERSON le 18 novembre 1985, la série s'est terminée le 31 décembre 1995, après dix ans de parutions à raison d'une bande par jour, et d'une planche hebdomadaire en couleur. Elle a, durant cette période, connu un succès fulgurant, et été publiée par plus de 2 400 journaux de par le monde. À ce jour, plus de trente millions d'albums ont été imprimés, et Calvin et Hobbes sont devenus une nouvelle référence de la culture populaire.
La série décrit le quotidien de Calvin, enfant plutôt solitaire et très imaginatif, du double point de vue de Calvin lui-même et de son environnement, le comique naissant souvent de la différence de vision entre les protagonistes.
Aux yeux de Calvin, sa peluche, Hobbes, est une sorte de tigre anthropomorphe doué de parole et d'une personnalité propre alors que tous les autres personnages le voient comme un simple jouet. La série joue souvent sur cette double nature de Hobbes et l'ambiguïté n'est volontairement jamais levée.